Le CHU de Dijon à la pointe de la génétique

Le 30 juillet 2014

presse

Une équipe du CHU de Dijon vient de réaliser deux découvertes majeures sur le plan de la génétique. Un joli coup de projecteur pour ce laboratoire précurseur.

Laurence Olivier n’en revient toujours pas. Une parution dans l’ American Journal of Human Genetics , elle en espérait une « avant la retraite ». Il n’aura finalement fallu au laboratoire qu’elle dirige que quelques années pour avoir l’honneur d’une publication dans ce que l’on peut considérer comme la bible de la discipline.

Il faut dire qu’elle et son équipe de recherche, encadrée par Jean-Baptiste Rivière, ont réalisé, en quelques mois, deux découvertes majeures. L’une rapporte l’implication d’un gène dans une épilepsie sévère du nouveau-né, la seconde d’un gène responsable d’un syndrome oro-facio-digital. De ces deux maladies génétiques rares, grâce au laboratoire dijonnais, on connaît désormais la cause. « Notre rôle est de travailler sur les anomalies génétiques », explique Jean-Baptiste Rivière. « On travaille donc sur des pathologies rares, des maladies génétiques, afin d’identifier l’anomalie génétique qui est à l’origine de la maladie. »

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